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Affichage des articles du 2016

Ô que l'amour est beau

Ô que l'amour est beau, et embellit nos vies; Dans la morte saison voilà que l'on revit La joie de la famille supplante vraiment tout J'ai cru devoir tout perdre et j'ai tout reconstruis Que j'en suis à répondre des décennies perdues! Je ne regrette rien, je crois avoir tout vu J’aime d'amour sincère et pourtant, qui l'eut cru? Par le plus grand hasard nous nous sommes connus Ô que la vie est belle baignée de tant d'amour Que ça puisse durer au plus loin que toujours! Nos amours se complètent, belles comme au premier jour, Je me méfie pourtant de tous ces mauvais tours Que le monde réserve au plus sérieux amour! Alors que nenni à nul on ne veut noise L'injustice pour nous est d'en payer l'ardoise, Alors on se protège des aléas des jours! Je, ce peut être toi, ou d'autre ose d'amour Donner à tous les siens sans jamais de retour, On ne sait jamais rien, ni quand vie

Je me suis égaré

Je me suis égaré dans la vallée magique, Un endroit merveilleux brillant de mille feux, D’avoir gravi la montagne à   la cime, je jubilais : A l’apogée du néant, de respirer la liberté, Ce ciel azuré, ces mélèzes tricentenaires, Une nature épargnée, loin du béton, d’acier.. Je serais resté longtemps, allongé alangui, Laisser mon esprit vagabonder, cet air pur M’enivrer, ce soleil doucement me réchauffer, Au loin je voyais les ailes volantes planer, Je contemplais heureux la nature belle, étincelante A m’assoupir, sentir mes yeux qui se fermaient…   Et tu es apparue telle une fleur sauvage, conquérante Belle, malgré tes godillots et ton short mal ajusté, Ta casquette vissée sur ta tête laissait deviner  Ta crinière rousse, la lionne des montagnes Sifflotait, agrémentant d’un « salut » bougonnant D’un geste brusque, se défaire du sac à dos, se poser Elle, to

Le soleil brillait en son zénith

Le soleil brillait en son zénith, et je t’ai vue Qui m’attendait prés la coursive, souriante, Tu étincelais de beauté, tes yeux émeraude * Chantonnaient en mon cœur le bonheur, Moment heureux, enivré de te voir au loin, Et plus je m’approchais, plus c’était fort, * Il était si irréel de te voir si prés, sentir Te voir venir vers moi, tendre et belle, Tes cheveux brillaient, m’illuminaient * Et tu t’es rapprochée tout doucement Comme  une chaleur forte m’envahissait, L’amour cherche et sourit de la rencontre, * Et nous voilà, face à face, l’étreinte vive Yeux dans les yeux, une attirance forte Enfin concrétisée en un premier baiser. * Dans le vécu de nos vies, l’éternité Surgissait soudain à vouloir s’aimer, On est resté un long moment enlacé… 21.12.2016 © Y.L.P Y.L.P © Yassine LAPLUME™ "Rêveries Poétiques "  Recueil à commander sur yassinelaplume@gmail.com  MAG. POÉ

Il faisait noir et sombre

Il faisait noir et sombre, la forêt faite d'ombres, Arbres géants, silhouettes en rangs serrés Les buissons étaient hauts. Tu avançais, harassé Butant sur des branches, tu trébuchais, nombre De souvenirs, de ces moments d'angoisse, perdu! Ce monde étrange, étranger qui y joue sa vie, Est-ce humain de voir, dans ces moments maudits, Un être isolé, fuyant ses souvenirs, dans un tel sursis? Le masque tombe seul, et tu entends au loin, les chiens, Et tu cours, cours, cours, tu tombes te ramasses: peur, Peur du noir intense, et de ces bruits: horreur Tes yeux dans le néant, tu t'effondres! Plus rien N’a d'importance, fuir, comme dernière chance, Tu les entends qui se rapprochent et là, tu cries Ton désespoir, les étoiles et la lune obscurcis De nuages intenses, tu es las, fatigué: défiance Au mo

Tu peux toujours

Tu peux toujours, Relier le présent au passé, Dans tous les cas, tu ne sais jamais, Pourquoi quand tu es dans la mouise, Le présent est de goût cerise. Comme c'est bon de te revoir, Toi, mon ami de jadis, Au détour, un mot, un regard, C'est là que renaît l'espoir! Que la lumière jaillisse, le noir A obscurcit les moments jolis, Où tu baladais dans ta vie Ta joie, ton bonheur, (tu ris!) Sur ton carnet de rendez-vous, Journal intime, parmi nous, Tu raconteras tes histoires, Nous éblouir de ton miroir Dans le reflet, la beauté rejaillit, Le cœur, ton âme nous sourit, De tendresses amicales! Parti Un soir où silence surgit... Renoncement à l'espérance, D'ultimes moments la fin, Le terminus, là, tout s'éteint, C'est le destin: quelle importance? Il a choisit, pour toi, te dire, C'est la   Fin, où tout finit, Disparaître et